[Nintendo 3DS] Youkai Watch arrive en Occident
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[Nintendo 3DS] Youkai Watch arrive en Occident
Hey !
En attendant, je reposte un petit quelque chose.
"Tout a commencé par un manga de Noriyuki Konishi, pré-publié fin 2012 dans le magazine jeunesse CoroCoro Comic. Quelques mois plus tard, sort un premier jeu vidéo sur Nintendo 3DS, dont le succès reste mitigé, jusqu'à ce que le studio Level 5 (Inazuma Eleven, Professeur Layton, Dark Cloud, Dark Chronicle, White Knight Chronicle, Ni no Kuni, Dragon Quest) lâche sa bombe le 8 janvier 2014 sur TV Tôkiô : l'anime Yôkai Watch. Très vite les audiences dépassent celles de Pokémon XY. Et depuis, au Japon vit l'heure de cette série multi-succès (goodies, chorégraphie), génial concentré de pop culture urbaine !
Un anime sans NYAiserie
La méthode marketing est éprouvée depuis Pokémon : prépublication pour populariser la licence auprès du public visé, suivie d'un jeu vidéo et, en fonction du succès rencontré, la série animée. On appelle cela le crossmédia. Dans le cas de Yôkai Watch, c'est la série animée, produite par OLM (Pokémon, Inazuma Eleven), qui a fait le boulot ! Des pics d'audience frôlant 8% de part de marché, faisant de l'ombre à l'historique Pokémon diffusé sur la même chaîne, les vente du jeu vidéo qui passent de cinquante mille à plus d'un million après le début du programme : aucun doute possible ! Dés les premiers épisodes, les retours du public sont excellents, et les audiences ne vont cesser de grimper. Tout cela grâce à des créatures du folklore nippon, les yôkai, qui s'ingénient à perturber le quotidien des humains, influant, invisibles, sur leur comportement.
Keita, le jeune héros, a la capacité de les voir grâce à sa montre magique. Son objectif : les convaincre de cesser de nuire, et devenir leur ami. Amis qu'il collectionne sous forme de médailles, et qu'il peut ensuite appeler à la rescousse. Les raisons du succès sont multiples : fédérateur, humour frais, pas niais, et des personnages taillés sur mesure. Dôles, percutants, ils sont amenés à réapparaître en fonction de la yôkai medal à laquelle Keita fait appel. Ils ont aussi chacun un tic de langage qui ponctue leurs phrases. Le yôkai star se nomme Jibanyan, nya, un chat flemmard fan du groupe d'idoles NyaKB, et amené à connaître quelques variantes comme Robonyan, nya. On trouve aussi l'incident Komasan, zura, naïf campagnard débarqué en ville, zura. Certains yôkai ont été pensés pour un public plus mature, comme Jimmenken, croisement entre un veiux salayrman désabusé et un caniche, ou Whisper, hilarant fantôme libéré d'une vieille machine à gashapon, et censé aider Keita à identifier les farceuses créatures.
Yôkai Medal
Yôkai Watch est tout simplement devenu un phénomène (Une furieuse fringale ? Un pet incontrôlé ? Tous les Japonais savent maintenant qu'un yôkai se cache derrière !), y compris par ses génériques. Les gamins s'entraînent à répéter la chorégraphie d'ending (gestes simples, amusants, repris par tous les personnages), et dans certaines écoles, on fait même cela très officiellement. De quoi fédérer toute une génération, voire plusieurs. Inutile de vous dire qu'en ce qui concerne les produits dérivés, c'est une véritable invasion ! En plus des jeux sur Nintendo 3DS (le deuxième volet s'est écoulé à plus de cinq millions d'exemplaires dans ces trois versions depuis l'été dernier), de la borne d'arcade, on trouve des stickers sur les bouteilles d'Orangina, des cartes Tomodachi UkiUkipedia dans des paquets de glaces, des figurines Palmo, des peluches, des verres, et bien entendu des yôkai medal, assurément le produit star ! Elément central du jeu et de l'anime, ces médailles permettent d'invoquer les yôkai avec lesquels vous êtes deenu ami. Pour ce faire, il suffit de les glisser dans votre yôkai watch (simple ou deluxe). Ces ronds de plastique (à ranger soigneusement dans des classeurs appropriés) ont littéralement envahi les cours de récréation et les magasins de jouets. Certains, très recherchés, se vendenty même à plus de dix mille yens (soixante-quinze euros) dans certaines boutiques d'Akihabara. La course aux yôkai medal est ouverte depuis plusieurs mois : attrappez-les toutes !
Le phénomène Yôkai Watch a un énorme potentiel. Il va donc être très intéressant de voir comment Level 5 et son patron Akihiro Hino, qui souhaite devenir le Disney de l'entertainment japonais, vont gérer cette juteuse licence sur la durée, et à l'international (on pourrait espérer une sortie du jeu puis une édition française en 2015... c'est la version optimiste). Ancien grand rendez-vous au Japon : l'arrivée du premier long-métrage d'animation le 20 décembre 2014."
Vous savez, Youkai Watch, la licence phénomène au Japon ? Eh bien, la série devrait arriver en Occident vers 2016.
En attendant, je reposte un petit quelque chose.
"Tout a commencé par un manga de Noriyuki Konishi, pré-publié fin 2012 dans le magazine jeunesse CoroCoro Comic. Quelques mois plus tard, sort un premier jeu vidéo sur Nintendo 3DS, dont le succès reste mitigé, jusqu'à ce que le studio Level 5 (Inazuma Eleven, Professeur Layton, Dark Cloud, Dark Chronicle, White Knight Chronicle, Ni no Kuni, Dragon Quest) lâche sa bombe le 8 janvier 2014 sur TV Tôkiô : l'anime Yôkai Watch. Très vite les audiences dépassent celles de Pokémon XY. Et depuis, au Japon vit l'heure de cette série multi-succès (goodies, chorégraphie), génial concentré de pop culture urbaine !
Un anime sans NYAiserie
La méthode marketing est éprouvée depuis Pokémon : prépublication pour populariser la licence auprès du public visé, suivie d'un jeu vidéo et, en fonction du succès rencontré, la série animée. On appelle cela le crossmédia. Dans le cas de Yôkai Watch, c'est la série animée, produite par OLM (Pokémon, Inazuma Eleven), qui a fait le boulot ! Des pics d'audience frôlant 8% de part de marché, faisant de l'ombre à l'historique Pokémon diffusé sur la même chaîne, les vente du jeu vidéo qui passent de cinquante mille à plus d'un million après le début du programme : aucun doute possible ! Dés les premiers épisodes, les retours du public sont excellents, et les audiences ne vont cesser de grimper. Tout cela grâce à des créatures du folklore nippon, les yôkai, qui s'ingénient à perturber le quotidien des humains, influant, invisibles, sur leur comportement.
Keita, le jeune héros, a la capacité de les voir grâce à sa montre magique. Son objectif : les convaincre de cesser de nuire, et devenir leur ami. Amis qu'il collectionne sous forme de médailles, et qu'il peut ensuite appeler à la rescousse. Les raisons du succès sont multiples : fédérateur, humour frais, pas niais, et des personnages taillés sur mesure. Dôles, percutants, ils sont amenés à réapparaître en fonction de la yôkai medal à laquelle Keita fait appel. Ils ont aussi chacun un tic de langage qui ponctue leurs phrases. Le yôkai star se nomme Jibanyan, nya, un chat flemmard fan du groupe d'idoles NyaKB, et amené à connaître quelques variantes comme Robonyan, nya. On trouve aussi l'incident Komasan, zura, naïf campagnard débarqué en ville, zura. Certains yôkai ont été pensés pour un public plus mature, comme Jimmenken, croisement entre un veiux salayrman désabusé et un caniche, ou Whisper, hilarant fantôme libéré d'une vieille machine à gashapon, et censé aider Keita à identifier les farceuses créatures.
Yôkai Medal
Yôkai Watch est tout simplement devenu un phénomène (Une furieuse fringale ? Un pet incontrôlé ? Tous les Japonais savent maintenant qu'un yôkai se cache derrière !), y compris par ses génériques. Les gamins s'entraînent à répéter la chorégraphie d'ending (gestes simples, amusants, repris par tous les personnages), et dans certaines écoles, on fait même cela très officiellement. De quoi fédérer toute une génération, voire plusieurs. Inutile de vous dire qu'en ce qui concerne les produits dérivés, c'est une véritable invasion ! En plus des jeux sur Nintendo 3DS (le deuxième volet s'est écoulé à plus de cinq millions d'exemplaires dans ces trois versions depuis l'été dernier), de la borne d'arcade, on trouve des stickers sur les bouteilles d'Orangina, des cartes Tomodachi UkiUkipedia dans des paquets de glaces, des figurines Palmo, des peluches, des verres, et bien entendu des yôkai medal, assurément le produit star ! Elément central du jeu et de l'anime, ces médailles permettent d'invoquer les yôkai avec lesquels vous êtes deenu ami. Pour ce faire, il suffit de les glisser dans votre yôkai watch (simple ou deluxe). Ces ronds de plastique (à ranger soigneusement dans des classeurs appropriés) ont littéralement envahi les cours de récréation et les magasins de jouets. Certains, très recherchés, se vendenty même à plus de dix mille yens (soixante-quinze euros) dans certaines boutiques d'Akihabara. La course aux yôkai medal est ouverte depuis plusieurs mois : attrappez-les toutes !
Le phénomène Yôkai Watch a un énorme potentiel. Il va donc être très intéressant de voir comment Level 5 et son patron Akihiro Hino, qui souhaite devenir le Disney de l'entertainment japonais, vont gérer cette juteuse licence sur la durée, et à l'international (on pourrait espérer une sortie du jeu puis une édition française en 2015... c'est la version optimiste). Ancien grand rendez-vous au Japon : l'arrivée du premier long-métrage d'animation le 20 décembre 2014."
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